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Le monde était convaincu en 1918 que la première guerre mondiale devait être la
« Der des der », la dernière des dernières. Il y a eu 1945, puis d’autres guerres sur d’autres continents. Je me suis demandé ce qu’un “poilu” penserait de nous. Quel regarde porterait-il sur notre époque. La représentation de ce soldat, au centre de mon village, qui me regarda pendant cette cérémonie m’est apparue bien sévère. Depuis 1918, nous avons rebâti, détruit, rebâti, créé des alliances, des accords, de grandes déclarations, de beaux discours porteurs d’espoir. Ces déclarations ( certainement sincères) disparaissait dès que les micros et caméras étaient éteints. C’est ainsi. Il y a des mots que nous n’aimons pas. Il y a des mots qui font peur : Mort, guerre… Parfois nous les substituons à d’autres d’apparences plus acceptables
L’objectif est de compliquer l’identification des unités de la flotte française par un adversaire potentiel. Cette stratégie qui permettra de ralentir le recueil de renseignements. A lire cet article de Vincent Groizelau dans Mer et Marine du 10/11/2022 : https://www.meretmarine.com/fr/defense/la-marine-nationale-commence-a-effacer-les-noms-et-numeros-de-coque-de-ses-batiments
Les frontières du cyberespace sont différentes des frontières « traditionnelles » des états et impliquent de repenser la souveraineté, les modes de gouvernance mais aussi les stratégies pour contrer les opérations criminelles. Face au caractère international de la cyber menace, les États ont pris conscience de la nécessité d’une réponse
Le Cnam a accueilli les 12e éditions des Assises nationales de la Recherche stratégique pour évoquer les enjeux et conséquences du retour de la guerre.